Kelly Rutherford, Lucas Bravo, Laetitia Casta… célébrent avec Ruinart la métamorphose du 4 RUE DES CRAYERES, à REIMS

Depuis 1729, la première Maison de champagne RUINART est le symbole d’un art de vivre.

RUINART DEVOILE LA MÉTAMORPHOSE DU 4 RUE DES CRAYERES, REIMS, EN PRESENCE DE NOMBREUX AMIS DE LA MAISON.

LAETITIA CASTA © Jean Picon.

Le jeudi 3 octobre, Frédéric Dufour – président Maison Ruinart -, Philippe Schaus – président-directeur général de Moët Hennessy -, Antoine Arnault – directeur Image & Environnement LVMH -, Arnaud Robinet – maire de la ville de Reims – et Catherine Vautrin – Ministre du Partenariat avec les territoires et de la Décentralisation – ont célébré la métamorphose du 4 RUE DES CRAYERES, REIMS en présence du trio créatif du projet : Sou Fujimoto – architecte -, Gwenaël Nicolas – architecte d’intérieur -, Christophe Gautrand – artiste paysagiste-.

ARNAUD ROBINET, CATHERINE VAUTRIN, SOU FUJIMOTO, FREDERIC DUFOUR, ANTOINE ARNAULT, PHILIPPE SCHAUS © Jean Picon.

Les amis de la Maison étaient nombreux pour participer à l’événement  et découvrir le pavillon Nicolas Ruinart ainsi que le jardin de sculptures qui font face au bâtiment historique de la Maison, et visiter les crayères classées au patrimoine mondial de l’UNESCO. Parmis eux, Lucas Bravo, Laetitia Casta, Kelly Rutherford, Aïssa Maïga, Finnegan Oldfield, Clémence Poesy, Raphaël Quenard, Ludivine Sagnier

Lors de la soirée, les invités ont notamment pu assister au tableau musical et visuel “Echoes” imaginé par Michaël Canitrot, projeté sur la façade vitrée du nouveau pavillon, ainsi qu’à un concert privé de Zaho de Sagazan. 

Zaho de Sagazan © Mickael Huard

Lieu de conversation(s), intemporel et contemporain, le 4 RUE DES CRAYÈRES rassemble artisans, artistes, chefs et visiteurs, pour partager des moments rares. Ces temps de rencontre invitent à se reconnecter profondément à soi, au monde et à ceux qui nous entourent. Une expérience sensible et éclairée qui fait du 4 RUE DES CRAYÈRES bien plus qu’une adresse, une destination.

RAPHAEL QUENARD © Jean Picon.
LUCAS BRAVO © Jean Picon.
SOU FUJIMOTO, ALEXANDRE ARNAULT, FREDERIC DUFOUR, CHRISTOPHE GAUTRAND © Jean Picon.
SOU FUJIMOTO, FREDERIC DUFOUR, GWENAEL NICOLAS, CHRISTOPHE GATRAND © Jean Picon.

Pour concevoir cette métamorphose, l’architecte japonais Sou Fujimoto, l’architecte d’intérieur Gwenaël Nicolas et l’artiste paysagiste Christophe Gautrand ont uni leurs savoir-faire pour mettre à l’honneur la vision de Nicolas Ruinart qui fonda la Maison il y a près de 300 ans.

Le 4 RUE DES CRAYERES, REIMS

Face au bâtiment centenaire a été construit un pavillon contemporain en pierre de taille et en verre. Entouré d’un jardin de sculptures conçu pour favoriser la biodiversité locale, le 4 RUE DES CRAYÈRES propose une immersion dans l’univers de la Maison.

Plus d’informations : https://www.ruinart.com/

L’HISTOIRE racontée par la Maison Ruinart :

AUX ORIGINES DU CHAMPAGNE


Ce sont les Romains qui importent pour la première fois la culture de la vigne en Champagne. Les vignes sont exploitées ensuite par les Abbayes mais la région subit la concurrence de ses voisins limitrophes, notamment la Bourgogne, l’Alsace et le bassin parisien. Les vins de Champagne, encore rouges et tranquilles, sont expédiés pendant plusieurs siècles en tonneaux. À la fin du XVIIème siècle, le moine Dom Pérignon apporte son caractère effervescent au vin champenois. D’autres érudits tels que Dom Ruinart s’intéressent au succès de ce nouveau vin très apprécié par la cour. En 1728, un édit du Conseil d’Etat du Roi Louis XV autorise l’expédition du vin de Champagne en bouteille et non plus en tonneau. Ce changement réglementaire scellera le destin hors-norme de la région et de ses vins. Les bouteilles, soufflées dans un verre épais et les bouchons de liège, maintenus sur le goulot à l’aide d’une ficelle de chanvre, permettent une conservation et un transport plus facile de ces vins effervescents. 

LA CRÉATION DE LA PREMIÈRE MAISON DE CHAMPAGNE


Le 25 mai 1728, un arrêté royal autorise le transport en panier de 50 ou 100 bouteilles de vin de Champagne vers les ports de Normandie. Quelques mois plus tard, cette décision incite Nicolas Ruinart, neveu de Dom Ruinart et négociant en draps, à fonder la première Maison de champagne. Inscrit dans le livre des comptes, l’acte fondateur de la Maison Ruinart est rédigé le 1er septembre 1729, à Reims. La première Maison de champagne est née. 

Nicolas Ruinart vend d’abord son vin pétillant aux clients qui achètent ses étoffes. Dès 1736, la Maison, alors appelée “Ruinart Père et Fils”, prend la décision audacieuse de mettre fin à son activité textile pour se consacrer uniquement au champagne. 

LA PREMIÈRE REPRÉSENTATION DU CHAMPAGNE


En 1735, six années après la fondation de la Maison Ruinart, le peintre français Jean-François de Troy réalise sur commande du roi Louis XV Le Déjeuner d’huîtres. Ce tableau, est la plus ancienne représentation connue de la consommation de vin effervescent de Champagne. On y reconnait la forme traditionnelle des flacons de champagne de l’époque et son bouchon caractéristique qui semble avoir été propulsé à l’ouverture de la bouteille. A cette époque, seules deux Maisons de champagne avaient été fondées : Chanoine Frères et Ruinart. 

L’ESSOR DE LA MAISON


À la moitié du XVIIIème siècle, Claude Ruinart (1731-1798), fils de Nicolas, lui succède à la présidence de la Maison. L’esprit d’entreprise de celui que l’on surnomme “le voyageur” va le conduire à établir des liens commerciaux avec la Belgique, l’Allemagne, les Pays-Bas et le Royaume-Uni. En 1764, il réalise la première expédition au monde de 60 bouteilles de champagne rosé, alors appelé “œil de perdrix” en référence à sa couleur. A l’époque, ce vin rosé est issu d’une macération des peaux de raisins qui teintent le jus. Aujourd’hui, la Maison élabore un rosé d’assemblage. Dès 1769, la Maison Ruinart expédie ses bouteilles de vin dans des caisses en bois. Un acte pionnier pour le transport en France et à l’étranger. 

UNE QUÊTE D’EXCELLENCE DE GÉNÉRATION EN GÉNÉRATION


En 1817, la famille Ruinart s’anoblie et devient Ruinart de Brimont., Les générations Ruinart se succèdent et développent la renommée de la Maison en France comme à l’international. Entre 1827 et 1831, Edmond Ruinart voyage en aux États-Unis et en Russie, où il noue des relations commerciales avec la noblesse des pays.  En 1859 puis en 1861, son fils Edgar voyage lui aussi par deux fois au pays des tsars avant de s’établir en Angleterre pour y commercialiser les vins Ruinart. André, le neveu d’Edgar, homme de communication, utilise les nouvelles techniques du XXème siècle pour faire connaître la Maison. Il a notamment l’idée de faire appel à l’artiste tchèque Alphonse Mucha pour réaliser ce qui deviendra la première réclame d’une Maison de Champagne. Celle-ci connait un succès retentissant, et ce, avant que même l’artiste ne devienne une référence de l’art nouveau dans le monde entier. Dès lors, la Maison commence à tisser un lien privilégié avec les artistes et le monde de l’art. 

L’INSTALLATION DANS LES CRAYÈRES


En 1877, la Maison acquiert un lieu unique, les crayères, caves naturelles de craie, situées plusieurs mètres sous la ville de Reims. Identifiant des conditions idéales à la conservation des vins, Ruinart est la première Maison de Champagne à y entreposer ses bouteilles afin de profiter d’une température stable, d’une humidité constante et d’une faible luminosité. 

Depuis lors, le 4 rue des crayères est un lieu emblématique où la Maison est aujourd’hui encore installée. Partiellement détruits pendant la Première Guerre mondiale, les bâtiments sont reconstruits à l’identique par l’épouse d’André Ruinart, Charlotte, qui reprendra la tête de la Maison au décès de son mari en 1919.

UNE QUÊTE D’EXCELLENCE


Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Gérard Ruinart puis Bertrand Mure, se succèdent à la tête de la Maison et participent à relancer son activité. Séduit par la fraîcheur aromatique du chardonnay, Bertrand Mure commercialise Dom Ruinart Blanc de Blancs 1959, la première cuvée 100 % chardonnay de la Maison baptisée en hommage à Dom Thierry Ruinart et commercialisée en 1966. Dans cette continuité, la cuvée Ruinart Blanc de Blancs voit le jour et devient l’emblème du goût Ruinart. Le chardonnay est aujourd’hui présent dans l’ensemble des cuvées de la Maison. 

Au début des années 2000, les effets du changement climatique sur la vigne se font déjà ressentir. Face aux défis environnementaux, la Maison Ruinart, déjà attachée à la préservation du vivant, prend des engagements forts. Pionnière dans la viticulture durable, elle opère une transformation progressive de l’ensemble de ses pratiques dans le vignoble.

Sur le plan de la biodiversité, elle s’investit dans la protection de la faune et la flore locale et la reforestation. Dans cette continuité, la Maison place la lutte contre le changement climatique au cœur de toutes ses initiatives. Pour ses programmes Carte Blanche et Compte à rebours, Ruinart sélectionne des artistes engagés pour réinterpréter le patrimoine de la Maison et sensibiliser le public aux enjeux environnementaux pour une prise de conscience généralisée. Ruinart est aussi mécène des actions solidaires “Planète Art Solidaire” et de l’association Art of Change 21, visant à soutenir les jeunes artistes œuvrant pour l’environnement. 

En 2020, la Maison prend la décision de remplacer tous ses coffrets unitaires par l’étui seconde peau. Eco-conçu, cet écrin 99% papier, recyclable et moulé à la forme du flacon, permet de réduire de 60 % son impact carbone. Dans la continuité de cette innovation, l’étui crayères, qui semble avoir été taillé dans la roche crayeuse, a été conçu pour habiller les cuvées prestiges de la Maison.  

L’ABUS D’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ, À CONSOMMER AVEC MODÉRATION

Crédits photos : © Jean Picon – © Mickael Huard

Photos : ©2024 RUINART – TOUS DROITS RÉSERVÉS – www.ruinart.com/

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